JOURNÉES CINEMA – 2

FKM - Konrad Adenauer Cad. No 30 - YILDIZ
25.03.2018 - 04:30

L’Institut français vous invite pour 2 journées de projection de films en accès gratuit.

Tous les films sont sous-titrés en turc.

L’Institut français vous invite pour 2 journées de projection de films en accès gratuit.

Tous les films sont sous-titrés en turc.

Programme :

Dimanche 25 mars, 13h30 : INCENDIES (Canada), de Denis Villeneuve

Synopsis : Montréal. À la suite du décès de leur mère Nawal Marwan, les jumeaux Jeanne et Simon se voient remettre deux lettres par un notaire. L’une qu’ils doivent donner à leur père qu’ils n’ont jamais connu et qu’ils croyaient mort, et l’autre à leur frère dont ils ignoraient l’existence. Commence alors pour les jumeaux une longue quête vers leurs origines et la découverte de la vie de leur mère.

Dimanche 25 mars, 16h30 : UN HOMME A LA MER (Belgique) de Géraldine Doignon

Synopsis : Mathieu est biologiste marin. Les dissections qu’il fait à longueur de journée l’ont complètement éloigné de sa véritable passion : les requins. Depuis 8 ans, il partage sa vie avec Juliette, danseuse passionnée et volontaire. Plus rien de son couple ou de son travail ne semble le toucher. Jusqu’au jour où Christine, sa belle-mère, jeune retraitée apparemment comblée disparaît. A l’insu de tous, tenté lui-même de fuir, Mathieu part à sa recherche. Loin de tout, exilés de leur famille, ils vont se retrouver, se comprendre et partager le même désir de reprendre leurs vies en main. 

https://www.youtube.com/watch?v=h27206cRIWo&t=21s

Dimanche 25 mars 17h : BRANCUSI (Roumanie) de Cornel Mihalache

Synopsis : le film sur « Brâncuşi » présente une histoire de la rencontre du sculpteur avec son alter ego jusqu’au son dernier travail, inachevé – le Coq en gypse, 1949.

Le film part des quelques photos réalisées par Brâncuşi, qui montrent que le décryptage des œuvres peut commencer par les photos personnelles du sculpteur. « Et je fais référence à l’affirmation que le Coq s`est moi même! ». Le régisseur Cornel Mihalache, qui imagine un dialogue entre Brâncuşi et le Coq – un esprit incarné dans son opéra, de temps en temps, tout au long du film, recoupant les souvenirs, sa vie et son travail. Le film est basé sur un vrai texte documentaire, pas sur le « dit » de Brâncuşi, si scientifiquement non testé, mais écrit, sur des notes laissées à des amis ou sous la garde de légataires testamentaires. Toutes les photographies utilisées dans le film appartiennent au sculpteur.