JOURNÉES DES FILMS FRANCOPHONES


14.03.2022
19.03.2022

Dans le cadre du Printemps de la Francophonie, Institut français de Turquie organise les Journées de films francophones dans ses 3 antennes qui se trouvent à Ankara, Istanbul et Izmir et en partenariat avec les ambassades de France, Autriche, Belgique, Canada, Luxembourg, Maroc, Suisse et Tunisie et les Consulats généraux de Belgique et de Tunisie. […]

Dans le cadre du Printemps de la Francophonie, Institut français de Turquie organise les Journées de films francophones dans ses 3 antennes qui se trouvent à Ankara, Istanbul et Izmir et en partenariat avec les ambassades de France, Autriche, Belgique, Canada, Luxembourg, Maroc, Suisse et Tunisie et les Consulats généraux de Belgique et de Tunisie.

Une sélection de 11 longs-métrages et des courts-métrages sous-titrés en turc et/ou en français sera projetée dans les 3 salles de cinéma de l’IF de Turquie du 14 mars au 3 avril 2022.

Program :

ANKARA, 14 – 19 Mars 2022 (Toutes les projections à l’Institut français Ankara, Konrad Adenauer Cad. No 30 – YILDIZ. Ankara, entrée gratuite).

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14 mars 18.30 : Les pirates de Salé (79’) (documentaire de Merieme Addou 2014, en arabe sous-titré en français)

« Les pirates de Salé » suit la vie des premiers jeunes circassiens marocains dans leurs combats quotidiens pour intégrer la tradition du cirque dans une société conservatrice.
L’école de cirque Shamsy est un lieu féerique au coeur de la grisaille de la ville de Salé, un lieu de rêve, d’inspiration et d’apprentissage. Remise en question de principes, recherche d’équilibre entre exigence artistique et contraintes socio-culturelles, dans un pays où l’art demeure embryonnaire. Pour ces jeunes gens, l’expression artistique n’est pas seulement une ouverture vers une carrière artistique, mais aussi l’indépendance et la liberté.

14 mars 20.00 : Tu mérites un amour (102’) (de Hafsia Herzi 2019, en français sous-titré en turc)

Suite à l’infidélité de Rémi, Lila qui l’aimait plus que tout vit difficilement la rupture. Un jour, il lui annonce qu’il part seul en Bolivie pour se retrouver face à lui-même et essayer de comprendre ses erreurs. Là-bas, il lui laisse entendre que leur histoire n’est pas finie… Entre discussions, réconforts et encouragement à la folie amoureuse, Lila s’égare…

15 mars 18.00 : Il pleuvait des oiseaux (126’) (de Louise Archambault 2019, en français sous-titres en turc)

Québec. Canada. Aujourd’hui.
Trois vieux ermites vivent reclus dans le bois. Alors que des incendies de forêt menacent la région, leur quotidien sera bousculé par la mort de leur doyen, Boychuck, et l’arrivée d’une octogénaire qui a été injustement internée toute sa vie. Une photographe mandatée pour interviewer les témoins des feux les plus meurtriers de l’époque trouve leur repaire. Les deux femmes feront l’étonnante découverte de centaines de tableaux de Boychuck, qui racontent son passé tragique lors de ces feux. Il pleuvait des oiseaux est une histoire de destins croisés où l’amour n’a pas d’âge, où la vie reprend racine dans des virages inattendus.

15 mars 20.30 : A la recherche de l’homme à la caméra (76’) + Rencontre avec la réalisatrice (documentaire de Boutheyna Bouslama 2018, en français sous-titré en
turc)

C’est une quête que Boutheyna Bouslama va mener pendant trois ans et qui va la mener de Genève à la frontière syrienne. A la recherche sans relâche de son ami d’enfance, Oussama, activiste média syrien disparu, elle passera par des phases d’espoir, de peur, de découragement et de désespoir. A la recherche de l’homme à la caméra est un voyage où la recherche d’un être cher transcende le chaos politique et militaire. A travers le lien qui unit la narratrice et son ami, c’est un questionnement sur le pouvoir de l’image de guerre, son rôle de mémoire et de témoin de crimes de guerre.

16 mars 18.30 : Sawah (86’) (de Adolf El Assal 2019, français et arabe, sous-titré en français et en turc)

Skaarab, un DJ du Caire est invité à poser ses sons à Bruxelles à l’occasion d’un concours international de DJ. Pendant son trajet, il reste coincé dans un pays dont il n’a jamais entendu parler : Le Grand-Duché de Luxembourg. Il décide alors de trouver son chemin pour atteindre son but à temps alors qu’une révolution éclate dans son pays. Une folle épopée de 48 h s’ensuit.

16 mars 20.00 : Système K (94’) (de Renaud Barret 2019, 94’, en français sous-titré en turc)

“Système K” comme Kinshasa. Au milieu de l’indescriptible chaos social et politique, une scène contemporaine bouillonnante crée à partir de rien, crie sa colère et rêve de reconnaissance. Malgré le harcèlement des autorités et les difficultés personnelles des artistes, le mouvement envahit la rue et plus rien ne l’arrêtera !

17 mars 18.30 : Tambour Battant  (90’) (de François-Christophe Marzal 2019, en français sous-titré en turc)

Au début du printemps 1970, le petit village de Monchoux, en Valais, connaît une agitation inhabituelle. Est-ce à cause du scrutin sur le droit de vote des femmes ? Ou à cause du prochain référendum sur l’expulsion des étrangers ? Non, c’est pire : la fanfare du village a implosé ! La moitié du village dira que c’est la faute d’Aloys, l’autre moitié répondra que c’est celle de Pierre.
L’opposition sera politique, musicale et amoureuse…

17 mars 20.30 : Zeinab n’aime pas la neige (83’) (de Kaouther Ben Hania, 2017, en français et arabe, sous-titré en français)

2009. Zaineb a neuf ans et vit avec sa mère et son petit frère à Tunis. Son père est décédé dans un accident de voiture. Sa mère s’apprête à refaire sa vie avec un homme qui vit au Canada. On a dit à Zaineb que là-bas elle pourra enfin voir la neige ! Mais elle ne veut rien savoir. Son beau-père et le Canada ne lui inspirent pas confiance et puis Zaineb n’aime pas la neige. Couvrant six ans de la vie de la petite Zaineb et de sa famille en complète mutation, Zaineb n’aime pas la neige est l’histoire d’une initiation à la vie, au monde des adultes racontée à travers les yeux d’un enfant qui grandit physiquement et mûrit émotionnellement…

18 mars 18.30 : Echos du Sahara (96’) (documentaire, de Rachid Kasmi 2018, en arabe sous-titré en français)

Le manque d’inspiration pousse le musicien Hongrois d’origine marocain, Said TICHITI a visité sa ville natale Guelmim, au sud du Maroc avec ses deux membres de groupe Chalaban. Au cours de leur voyage les trois musiciens vont rencontrer des musiciens Sahraoui, et ou la fusion et le métissage vont produire des rythmes inattendus.

18 mars 20.30 : Le mystère Henri Pick (101’) (de Rémi Bezançon 2019, en français sous-titré en turc)

Dans une étrange bibliothèque au coeur de la Bretagne, une jeune éditrice découvre un manuscrit extraordinaire qu’elle décide aussitôt de publier. Le roman devient un best-seller. Mais son auteur, Henri Pick, un pizzaïolo breton décédé deux ans plus tôt, n’aurait selon sa veuve jamais écrit autre chose que ses listes de courses. Persuadé qu’il s’agit d’une imposture, un célèbre critique littéraire décide de mener l’enquête, avec l’aide inattendue de la fille de l’énigmatique Henri Pick. – . / D’après le roman de David Foenkinos.

19 mars 11.00 : Kinderzauber (71’) (de Ruth Rieser 2016,  en allemand sous-titré en français)

Un film réalisé avec la collaboration des enfants qui en sont aussi les acteurs – leurs visions du monde, authentique, poétique, et en même temps réaliste.Les spectateurs partent en voyage vers le monde radieux de la collectivité, de la joie, des aspirations et des secrets. Un conte de fées? C’est l’été que le « Circus Dimitri » est arrivé dans le Royaume des Enfants. Mais où sont-ils ? « Il n’y a personne », observe tristement le clown Léon et part à leur recherche. Des choses très mystérieuses se passent – pendant la journée et pendant la nuit aussi. Les enfants sont ramenés de leur invisibilité au monde réel. Les adultes, eux, mènent leur propre vie, dans « des cadres ». Joyeusement, les enfants déploient leur force si spéciale et leurs rêves deviennent réalité.

19 mars 17.00 : Séance de courts-métrages marocains (74’)

Ascension (Réda Ahmed El Achir, 21’40)

Répondant à l’ordre donné par ses chefs, un jeune homme se dirige vers les bureaux d’une boite de production pour se faire exploser en réaction au tournage d’un film outrageux au prophète de l’islam, Mohamed. En y arrivant, il se retrouve bloqué dans l’ascenseur avec un jeune acteur. La cohabitation dans un lieu étroit s’impose.

Le billet bleu (Dania Achour, 15’20)

Dans un quartier populaire de la ville de Marrakech, une mère de famille est clouée au lit à cause d’une longue maladie. Elle a pour seule aide ses deux enfants Rachid et Samia qui prennent soin d’elle au quotidien.

Un philosophe (Abdellatif Fdil, 21’06)

En Arrivant à Azaghar en mission de recensement, Nabil fait connaissance d’un douanier souvent accompagné de cinq enfants dont il ne semble pas être leur père. Des questions folles le taraudent…

Wrida, le langage des fleurs (Dania Achour, 15’53)

Hanane est une jeune serveuse dans un café, donnant sur la mer. Tous les jours, un jeune homme vient commander un café et lui laisse une rose sans jamais lui adresser la parole. Hanane est troublée et perturbée par cet acte répétitif qui brise sa routine et auquel elle cherche un sens. Alors, qu’elle est décidée à élucider le mystère, le jeune homme lui laisse un mot qui la met hors d’elle…

IZMIR , 21 – 25 mars 2022

ISTANBUL , 19 mars – 3 avril 2022

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